Rencontrés dans un camp scout, Alex Trimble (chant, guitare) et Kevin Baird (basse, claviers) se perdent de vue quelques années, mais se retrouvent par l'intermédiaire de Sam Halliday (guitare). Les trois nord-irlandais sont alors prêts pour former Two Door Cinema Club en 2007.
Remarqué par le label Kitsuné grâce au titres postés sur sa page MySpace, le groupe est invité à jouer et transforme l'audition en contrat. Un excellent premier single, le sautillant « Something Good to Work », fait son apparition en avril 2009. À l'automne, Two Door Cinema Club remplace La Roux au pied levé lors du festival des Inrockuptibles et gagne l'attention du public par sa prestation enlevée. En novembre sort « I Can Talk » et ses remixes. Le post-punk tout en lévitation de TDCC fait des vagues quand la BBC le classe dans ses favoris de l'année 2010.
Après avoir remixé le « Lasso » de Phoenix, le trio enregistre son premier album aux studios Eastcote de Londres en compagnie d'Eliot James et confie le mixage à Philippe Zdar, installé dans son studio flambant neuf. Le résultat très attendu, baptisé Tourist History, sort le 1er mars 2010, précédé du single « Undercover Martyn ». Tourist History se comporte à merveille en Angleterre et en Irlande, jusqu'à obtenir un disque de platine en Grande-Bretagne. Également entichée de Two Door Cinema Club la France lui offre elle aussi un passage remarqué dans ses classements, avant que le titre « What You Know » ne serve de générique... à la retransmission du tirage du loto.
Sur scène, Two Door Cinema Club recharge ses batteries et confirme son triomphe par la tournée The Big World Tour, qui s'étend sur trois années, de 2010 à 2013. Entre deux concerts, le trio prend le temps de se poser avec le producteur Jacknife Lee pour donner une suite à Tourist History. Le deuxième album Beacon, paru en septembre 2012, dépose encore quelques mélodies dans les classements, notamment « Sleep Alone » et « Sun », et se classe n°1 en Irlande et n°2 au Royaume-Uni. Il obtient un disque d'or.
Remarqué par le label Kitsuné grâce au titres postés sur sa page MySpace, le groupe est invité à jouer et transforme l'audition en contrat. Un excellent premier single, le sautillant « Something Good to Work », fait son apparition en avril 2009. À l'automne, Two Door Cinema Club remplace La Roux au pied levé lors du festival des Inrockuptibles et gagne l'attention du public par sa prestation enlevée. En novembre sort « I Can Talk » et ses remixes. Le post-punk tout en lévitation de TDCC fait des vagues quand la BBC le classe dans ses favoris de l'année 2010.
Après avoir remixé le « Lasso » de Phoenix, le trio enregistre son premier album aux studios Eastcote de Londres en compagnie d'Eliot James et confie le mixage à Philippe Zdar, installé dans son studio flambant neuf. Le résultat très attendu, baptisé Tourist History, sort le 1er mars 2010, précédé du single « Undercover Martyn ». Tourist History se comporte à merveille en Angleterre et en Irlande, jusqu'à obtenir un disque de platine en Grande-Bretagne. Également entichée de Two Door Cinema Club la France lui offre elle aussi un passage remarqué dans ses classements, avant que le titre « What You Know » ne serve de générique... à la retransmission du tirage du loto.
Sur scène, Two Door Cinema Club recharge ses batteries et confirme son triomphe par la tournée The Big World Tour, qui s'étend sur trois années, de 2010 à 2013. Entre deux concerts, le trio prend le temps de se poser avec le producteur Jacknife Lee pour donner une suite à Tourist History. Le deuxième album Beacon, paru en septembre 2012, dépose encore quelques mélodies dans les classements, notamment « Sleep Alone » et « Sun », et se classe n°1 en Irlande et n°2 au Royaume-Uni. Il obtient un disque d'or.