La troisième sortie de Blonder, l’EP Crystal Ball, voit Constantine Anastasakis revenir à un son plus orienté vers la pop, tout en s’inspirant du rock psyché et en recourant à certains tropes pour créer un univers immersif. Blonder a collaboré avec de nombreux producteurs, Aaron Maine (Porches) et Waylon Rector (Phoebe Bridgers, Talk in Tongues, A.G. Cook) pour créer un pont entre une production moderne et une approche teintée de psychédélisme. Enregistré à Chinatown, Brooklyn et Long Island, et mixé par Justin Gerrish (Vampire Weekend) et Erin Tonkon (qui a travaillé sur Blackstar de Bowie), Crystal Ball amène Blonder à quitter la vibe 70’s de ses précédentes sorties pour renouer à ses origines plus pop, dans un élan de confiance en soi renouvelé.
L’EP fût en partie influencé par un nouvel an passé sous LSD, une premier essai peu dosé qui aida à construire une expérience où Constantine voulu creuser d’avantage les patterns du rock psyché, afin de faire de sa musique une expérience plus immersive.
L’EP fût en partie influencé par un nouvel an passé sous LSD, une premier essai peu dosé qui aida à construire une expérience où Constantine voulu creuser d’avantage les patterns du rock psyché, afin de faire de sa musique une expérience plus immersive.
