Une ascension lente mais sûre. Conformément à son nom, Pyramid gravit les marches de sa vie d’artiste avec sérénité.
Comment imaginer que ce natif de Lyon puisse à la fois remuer les clubs aux 4 coins du monde et revendiquer une enfance bercée par Supertramp, Led Zep ou les Red Hot (« mon 1er vrai concert !»)?
Sur son deuxième EP «The Phoenix», on distinguait déjà ce bouillonnement d'influences qui anime Pyramid et qui fait la singularité de chacune de ses productions: tour à tour imprégné de Justice ou de Chemical Brothers, «The Phoenix» s'enorgueillit d'un joli succès critique qui permet à Pyramid de poursuivre son parcours au sein de Kitsuné, un label à son image, polymorphe et exigeant.
Avec son troisième EP « Night Tales », Pyramid s'affranchit une fois de plus des carcans électro. Au moment où l'on picore des titres en playlist comme des tapas à l'heure de l'apéro, ce fan de Science-Fiction envisage son œuvre comme un long métrage.
Comment imaginer que ce natif de Lyon puisse à la fois remuer les clubs aux 4 coins du monde et revendiquer une enfance bercée par Supertramp, Led Zep ou les Red Hot (« mon 1er vrai concert !»)?
Sur son deuxième EP «The Phoenix», on distinguait déjà ce bouillonnement d'influences qui anime Pyramid et qui fait la singularité de chacune de ses productions: tour à tour imprégné de Justice ou de Chemical Brothers, «The Phoenix» s'enorgueillit d'un joli succès critique qui permet à Pyramid de poursuivre son parcours au sein de Kitsuné, un label à son image, polymorphe et exigeant.
Avec son troisième EP « Night Tales », Pyramid s'affranchit une fois de plus des carcans électro. Au moment où l'on picore des titres en playlist comme des tapas à l'heure de l'apéro, ce fan de Science-Fiction envisage son œuvre comme un long métrage.